Jean 15

  1. Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron.

    Je suis le vrai cep [la vraie vigne], et mon Père est le vigneron [comprenons que la vigne était du type d’Israël (Psaume 80, Ésaïe 5:1, Ézéchiel 19:10), le peuple de Dieu. En disant « je suis la vraie vigne », Jésus disait qu’en lui était la véritable terre promise, Israël. Jésus disait qu’il était la véritable source de vie divine. Puisque Jésus est cette vraie vigne, en prononçant ces paroles, il révélait qu’il y a forcément une « fausse vigne ». Comprenons que tous les chemins qui essaient d’unir l’homme à Dieu sans Jésus-Christ tombent dans la catégorie de la « fausse vigne ». Sachez aussi qu’il est impossible d’être uni à la fois à une fausse vigne et à la vraie vigne. Nous devons choisir la vraie vigne, Jésus, pour recevoir sa vie divine].

  2. Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il porte encore plus de fruit.

    Tout sarment [toute branche] qui est en [« en » peut se traduire par « avec »] moi et qui ne porte pas de fruit, il [le vigneron, le Père] le retranche [l’enlève] ; et tout sarment [toute branche] qui porte du fruit, il l’émonde [le taille], afin qu’il porte encore plus de fruit [si une personne, une branche, est « avec » Dieu, dans le sens où elle est dans l’entourage du peuple de Dieu, mais qu’elle ne porte pas de fruits, l’absence de fruit nous permet de reconnaître qu’elle n’est pas vraiment de la famille de Dieu : « Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. C’est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. » (Matthieu 7:19-21). Comprenez que lorsque nous devenons un enfant de Dieu, il y aura forcément un changement de vie. Ne croyez pas qu’une personne doive premièrement changer pour venir à Dieu. Non ! Une personne vient au Seigneur comme elle est, mais lorsqu’elle fait véritablement de Jésus le seigneur de sa vie, le Saint-Esprit qui l’habite produira [dans sa vie] des fruits dignes d’un enfant de Dieu. Dans l’épître aux Romains, l’apôtre Paul souligne ce fait : « […] maintenant, étant affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle. » (Romains 6:22). Comprenez aussi que la branche (l’enfant de Dieu) qui porte du fruit est taillée par Dieu. Elle est façonnée à son image pour glorifier Dieu le Père. Ce processus, celui d’être « taillé », n’indique pas une destruction ou l’écrasement d’une personne. Dieu va plutôt « tailler » ou encore, séparer de la vie de la personne les choses nuisibles afin qu’elle puisse arriver à sa pleine croissance et épanouissement spirituel].

  3. Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée.

    La Parole de Dieu purifie ceux qui écoutent.

  4. Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.

    Demeurez en moi [ce commandement révèle que le choix repose sur l’homme et non sur Dieu], et je demeurerai en vous [une promesse certaine]. Comme le sarment [une branche] ne peut de lui-même porter du fruit, s’il ne demeure attaché au cep [à la vigne], ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi [il est impossible de porter le fruit de l’Esprit (Galates 5:22) sans être véritablement en Jésus. Si une personne n’a pas vécu le miracle de la nouvelle naissance, quoi qu’elle soit religieuse, elle ne pourra produire ce que Dieu seul peut produire].

  5. Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire.

    Je suis le cep [Jésus répète qu’il est la vigne], vous êtes les sarments [les branches]. Celui qui demeure [par choix] en moi [démontrant que cela n’est pas forcément une réalité constante] et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire [sans le seigneur Jésus, et l’œuvre de la croix, il est impossible d’accomplir quoi que ce soit ayant une valeur éternelle. Toutes les œuvres n’ayant pas été inspirées de Dieu disparaissent dans le monde de l’oubli].

  6. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent.

    Si [démontrant une condition] quelqu’un ne demeure pas [par choix] en moi [démontrant qu’il est possible de ne pas demeurer en Jésus], il est jeté dehors [de la vigne], comme le sarment [la branche], et il sèche [ne recevant pas la vie de Dieu] ; puis on ramasse les sarments [les branches mortes], on les jette au feu, et ils brûlent [ceci illustre bien la mort spirituelle car sans la vie de Dieu, l’homme naturel ne peut vivre spirituellement. La Bible nous révèle que les injustes, qui ne sont pas dans la vigne, seront séparés de Dieu éternellement : « Le fils de l’homme enverra ses anges, qui arracheront de son royaume tous les scandales et ceux qui commettent l’iniquité : et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende. » (Matthieu 13:41-43)].

  7. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.

    Si [démontrant une condition] vous demeurez [par choix] en moi [en Jésus], et que mes paroles demeurent en vous [Josué 1:8, Proverbe 4:20-23], demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé [si la parole demeure en nous, nous saurons demander ce qui est selon la Parole de Dieu].

  8. Si vous portez beaucoup de fruit, c’est ainsi que mon père sera glorifié, et que vous serez mes disciples.

    Si vous portez beaucoup de [plusieurs] fruit, c’est ainsi que mon père sera glorifié [honoré], et que vous serez mes disciples [des élèves. | La tradition des hommes affirme que Dieu se glorifie, est honoré, par la maladie et la pauvreté de ses enfants. La Bible enseigne plutôt qu’il est honoré lorsque ses enfants portent beaucoup de fruits. Ces bons fruits révèlent le cœur de Dieu pour ses enfants ainsi que pour tous ceux qui veulent venir à lui !].

  9. Comme le Père m’a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour.

    Comme le Père m’a aimé, je vous ai aussi aimés [Jésus aime les hommes avec le même amour divin qu’il a reçu du Père]. Demeurez [un commandement] dans mon amour [l’amour divin. | Il est possible d’aimer tous les hommes, même nos ennemis, lorsque nous choisissons d’aimer avec l’amour de Dieu].

  10. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j’ai gardé les commandements de mon père, et que je demeure dans son amour.

    Si vous gardez mes commandements [se référant aux commandements reliés à l’amour], vous demeurerez dans mon amour [un choix qui sera évident], de même que j’ai gardé les commandements de mon père [Jésus a aimé tous les hommes], et que je demeure dans son amour [Jésus n’a jamais emprunté le chemin de la haine].

  11. Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.

    Je vous ai dit ces choses [relatives à l’amour], afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite [abonde. | Celui qui veut expérimenter la joie doit obligatoirement choisir de marcher dans l’amour. Ceci dit, le chemin de la joie implique aussi le choix de vivre par la foi : « […] Mon juste vivra par la foi. […] » (Hébreux 10:38). Ces ingrédients, la foi et l’amour, sont incontournables pour celui qui veut expérimenter la joie car la vie de foi est rendue possible uniquement par l’amour : « […] La foi […] est agissante par la charité. » (Galates 5:6)]

  12. C’est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés.

    Jésus nous a aimés d’un amour divin, offrant même sa vie pour ses ennemis. Que son amour puisse couler en nous afin que le monde puisse le voir à travers notre vie !

  13. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.

    Voilà le plus grand amour et cet amour a été manifesté par notre seigneur Jésus. Se référant à sa propre vie, Jésus a dit : « Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même […]. » (Jean 10:18).

  14. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande.

    Plusieurs se disent croyants mais refusent de marcher dans l’amour. « Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. » (1 Jean 3:15). Ces personnes seront grandement surprises le jour du jugement. « Celui qui dit qu’il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore dans les ténèbres. » (1 Jean 2:9). Ces « croyants » ne sont donc pas sauvés, mais seulement religieux. Remarquez que Dieu ne suggère pas cette marche dans l’amour mais, tout comme nous devons croire en Jésus pour être sauvés, nous devons également aimer ! : « Et c’est ici son commandement : que nous croyions au nom de son fils Jésus-Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu’il nous a donné. » (1 Jean 3:23). Cela peut sembler difficile à accepter mais comprenez que celui qui n’aime pas révèle tout simplement qu’il n’est pas uni à la vraie vigne (Jésus, Dieu). Cette dernière est amour : « Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. » (1 Jean 4:8). 

  15. Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon père.

    Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis [Jacques 2:23], parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon père [Jésus élève le croyant du statut de serviteur à celui d’ami. Cette amitié est rendue possible par Jésus qui a révélé la volonté de son père en ce qui concerne la marche dans l’amour. En marchant dans l’amour divin, nous pouvons communier avec notre ami céleste].

  16. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi ; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne.

    Ce n’est pas vous qui m’avez choisi [ce n’est pas l’humanité qui a choisi le sauveur, mais c’est le sauveur qui a choisi l’humanité. Il a choisi de se donner pour nous sauver. Ceci dit, comprenons aussi que Jésus parlait spécifiquement aux douze apôtres.] ; mais moi, je vous ai choisis [comme apôtres], et je vous ai établis [Éphésiens 4:11], afin que vous alliez [comprenons que le mot « apôtre » désigne justement « envoyé en avant » en tant que messager ou ambassadeur], et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne [comme Jésus a mentionné précédemment [au verset 8], tous doivent porter beaucoup de fruits. Ceci dit, lorsqu’il a dit : « Ce n’est pas vous qui m’avez choisi », ceci n’impliquait pas une élection au salut comme certains l’ont affirmé. Le contexte révèle clairement que Jésus s’adressait ici aux douze apôtres. Nous comprenons donc que ce ne sont pas les douze qui ont choisi Jésus, mais c’est le Seigneur qui les a choisis. | Voir les notes sur l’élection dans Jean 3:15].

  17. Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les autres.

    L’importance de la marche dans l’amour est répétée car « […] toute la loi est accomplie dans une seule parole, dans celle-ci : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Galates 5:14).

  18. Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous.

    L’enfant de Dieu trouve un réconfort sachant que la haine qu’il ressent n’est pas personnelle mais spirituelle, et reliée à son identification à Jésus-Christ.

  19. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait.

    Si vous étiez du monde [les pécheurs, les injustes], le monde aimerait ce qui est à lui ; mais parce que vous n’êtes pas du monde [les pécheurs, les injustes], et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait [le croyant qui place sa foi en Jésus-Christ pour le salut sera haï par ce monde qui refuse de se voir comme pécheur. Le croyant ne devrait donc pas être surpris de ne pas être acclamé et célébré par le monde rebelle à Dieu. En fait, l’opposé devrait être une cause d’interrogation personnelle car si le monde nous aime, notre témoignage n’est certainement pas très présent ou dérangeant. Si le monde nous acclame, nous sommes possiblement trop comme eux, donc, dans le compromis et dans le péché].

  20. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi ; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre.

    Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi [voilà une promesse ! Le croyant sera persécuté s’il affirme la vérité de la Parole de Dieu. S’il a honte de Dieu et de sa Parole, s’il essaie de plaire aux hommes, s’il marche dans le compromis, il ne sera pas persécuté. Ceci dit, il n’est pas un véritable témoin de Jésus-Christ !] ; s’ils ont gardé ma parole [ce que le monde n’a jamais fait], ils garderont aussi la vôtre [en d’autres mots, si le monde avait gardé la parole de Jésus, il garderait aussi la parole que nous proclamons. Malheureusement, il ne l’a pas fait et ne le fera pas].

  21. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas celui qui m’a envoyé.

    Mais ils vous feront toutes ces choses [vous persécuteront] à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas celui [Dieu le Père] qui m’a envoyé [les rebelles sont séparés de Dieu. Ils ont pour père le diable. Ils s’opposent aux hommes et aux femmes de Dieu. Malheureusement, les rebelles sont souvent des personnes religieuses : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fond ; car il est menteur et le père du mensonge. » (Jean 8:44). « Hommes au cou raide, incirconcis de cœur et d’oreilles ! Vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi. » (Actes 7:51)].

  22. Si je n’étais pas venu et que je ne leur eusse point parlé, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils n’ont aucune excuse de leur péché.

    Si je n’étais pas venu et que je ne leur eusse point parlé [si ces hommes rebelles étaient ignorants, n’ayant pas été exposés à Jésus et à sa parole], ils n’auraient pas de péché [ils n’auraient point manqué la cible] ; mais maintenant ils n’ont aucune excuse de leur péché [puisque les hommes ont rejeté Jésus qui a clairement exposé la vérité, ces rebelles le sont en connaissance de cause et leur rébellion ne l’est pas par ignorance mais par choix].

  23. Celui qui me hait, hait aussi mon Père.

    Il est impossible d’haïr Jésus et d’aimer le Père car le Fils, en rapport avec le Père est « […] le reflet de sa gloire et l’empreinte de sa personne […] » (Hébreux 1:3). Donc, si nous aimons le Père, nous devons forcément aimer son fils Jésus. « Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père ; quiconque confesse le Fils a aussi le Père. » (1 Jean 2:23)

  24. Si je n’avais pas fait parmi eux des œuvres que nul autre n’a faites, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon père.

    Malgré ce qu’ils ont vu comme preuves sur Jésus-Christ, les rebelles ont rejeté le Fils et le Père, s’établissant fermement dans une haine contre Dieu.

  25. Mais cela est arrivé afin que s’accomplît la parole qui est écrite dans leur loi : Ils m’ont haï sans cause.

    Voir Psaume 35:19, Psaume 38:19, Psaume 69:4, Psaume 109:3. Malgré l’amour manifesté par Jésus, les rebelles ont haï Dieu en retour.

  26. Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi ;

    Quand sera venu le consolateur [le Saint-Esprit], que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi [Jean 16:13] ;

  27. et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement.

    et vous aussi, vous rendrez témoignage [Actes 1:8, Apocalypse 17:6], parce que vous êtes avec moi dès le commencement [les apôtres, ainsi que les témoins de Jésus qui le suivraient, rendraient témoignage du salut en Jésus-Christ, et ce, aux extrémités de la terre].

Les commentaires sont issus du livre « Jésus révélé ».

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