Marc 14
- La fête de Pâque et des pains sans levain devait avoir lieu deux jours après. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchaient les moyens d’arrêter Jésus par ruse, et de le faire mourir.
- Car ils disaient : Que ce ne soit pas pendant la fête, afin qu’il n’y ait pas de tumulte parmi le peuple.
Marc 14:1-2
Les religieux étaient consumés d’une haine meurtrière dirigée vers le fils de Dieu, celui qui pouvait les sauver. - Comme Jésus était à Béthanie, dans la maison de Simon le lépreux, une femme entra, pendant qu’il se trouvait à table. Elle tenait un vase d’albâtre, qui renfermait un parfum de nard pur de grand prix ; et, ayant rompu le vase, elle répandit le parfum sur la tête de Jésus.
Nous retrouvons ce même récit dans l’évangile de Jean au chapitre 12:2-3, que nous commentons ici : « Là [à Béthanie, « dans la maison de Simon le lépreux », Matthieu 26:6], on lui fit un souper ; Marthe servait, et Lazare était un de ceux qui se trouvaient à table avec lui [il est bien d’œuvrer, de servir les invités, mais il est important de ne pas se perdre dans notre travail ; certains auront manqué le jour de leur visitation, car ils étaient trop occupés pour savourer la présence de Dieu]. Marie, ayant pris une livre d’un parfum de nard pur de grand prix [une valeur d’environ 10 000 $ canadiens, en 2014], oignit les pieds de Jésus [seuls les pieds sont mentionnés dans cet évangile. Remarquons qu’une omission n’est pas une contradiction], et elle lui essuya les pieds avec ses cheveux [nous retrouvons ici un geste d’amour et d’humilité] ; et la maison fut remplie de l’odeur du parfum [tout comme ce parfum remplissait la demeure, l’adoration véritable remplit la maison de Dieu ; Psaume 22:3]. ». – Un extrait de « Jésus révélé ».
- Quelques-uns exprimèrent entre eux leur indignation : À quoi bon perdre ce parfum ?
- On aurait pu le vendre plus de trois cents deniers, et les donner aux pauvres. Et ils s’irritaient contre cette femme.
- Mais Jésus dit : Laissez-la. Pourquoi lui faites-vous de la peine ? Elle a fait une bonne action à mon égard ;
- car vous avez toujours les pauvres avec vous, et vous pouvez leur faire du bien quand vous voulez, mais vous ne m’avez pas toujours.
Marc 14:4-7
L’évangile de Marc mentionne que plusieurs personnes furent indignées par le don de Marie. Il semblerait que ces personnes furent influencées par l’avarice d’une seule personne, Judas, car nous retrouvons ce même récit dans l’évangile de Jean au chapitre 12:4-8, que nous commentons ici : « Un de ses disciples, Judas Iscariot, fils de Simon, celui qui devait le livrer [Judas le traître], dit : Pourquoi n’a-t-on pas vendu ce parfum trois cent deniers, pour les donner aux pauvres [Judas camouflait ses motifs impurs par ce noble discours ; son “intérêt pour les pauvres” n’était qu’une façade, un mensonge, car il désirait vendre ce parfum pour pouvoir ensuite voler sa valeur monétaire] ? Il disait cela, non qu’il se mît en peine des pauvres, mais parce qu’il était voleur, et que, tenant la bourse, il prenait ce qu’on y mettait [remarquez : le ministère de Jésus possédait une bourse qui contenait de l’argent ! Jésus n’était donc pas un pauvre mendiant, comme nous l’enseigne la tradition des hommes. Non, en fait, Jésus, bien qu’il se soit appauvri en quittant la richesse du ciel pour venir sur la terre (2 Corinthiens 8:9), avait suffisamment de finances pour subvenir aux besoins matériels de douze hommes adultes ! De plus, Judas, le trésorier-voleur, était dans l’équipe ministérielle et pourtant, la mission se poursuivait sans problème !]. Mais Jésus dit : Laisse-la garder ce parfum pour le jour de ma sépulture [depuis longtemps, et avec un cœur rempli d’honneur pour le Seigneur, Marie avait fait des économies. Cet argent avait une mission divine d’adoration et Jésus défendait sa cause. Nous retrouvons ici un moment parfait où Jésus aurait pu corriger Marie pour cette “dépense extravagante”, mais il ne le fit pas. Au contraire, Marie recevra des louanges pour ce geste généreux : “En répandant ce parfum sur mon corps, elle l’a fait pour ma sépulture. Je vous le dis en vérité, partout où cette bonne nouvelle sera prêchée, dans le monde entier, on racontera aussi en mémoire de cette femme ce qu’elle a fait.” (Matthieu 26 : 12-13). Nous devrions donc en tirer une grande leçon : rien n’est trop cher pour l’œuvre de Dieu car le Seigneur est digne de nos meilleurs dons]. Vous avez toujours les pauvres avec vous [une triste réalité dans le système de ce monde], mais vous ne m’avez pas toujours [nous devons discerner quand et comment administrer les ressources du Seigneur, afin qu’il soit glorifié par notre saine gestion et afin de récolter beaucoup de fruits à la gloire de Dieu le Père]. » – Un extrait de « Jésus révélé ». - Elle a fait ce qu’elle a pu ; elle a d’avance embaumé mon corps pour la sépulture.
- Je vous le dis en vérité, partout où la bonne nouvelle sera prêchée, dans le monde entier, on racontera aussi en mémoire de cette femme ce qu’elle a fait.
Marc 14:8-9
Jésus déclara que Marie eut oint son corps pour la sépulture et que ce geste serait raconté dans le monde entier en mémoire d’elle, car elle fut la seule à avoir exprimé son amour et sa foi de cette manière. - Judas Iscariot, l’un des douze, alla vers les principaux sacrificateurs, afin de leur livrer Jésus.
- Après l’avoir entendu, ils furent dans la joie, et promirent de lui donner de l’argent. Et Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer.
Marc 14:10-11
Le contraste entre l’amour de Marie pour Jésus et celui de Judas pour l’argent est très évident ici : Judas préférait trahir le Seigneur pour « trente pièces d’argent » (Matthieu 26:15). - Le premier jour des pains sans levain, où l’on immolait la Pâque, les disciples de Jésus lui dirent : Où veux-tu que nous allions te préparer la Pâque ?
- Et il envoya deux de ses disciples, et leur dit : Allez à la ville ; vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau, suivez-le.
- Quelque part qu’il entre, dites au maître de la maison : Le maître dit : Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?
- Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée et toute prête : c’est là que vous nous préparerez la Pâque.
- Les disciples partirent, arrivèrent à la ville, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque.
Marc 14:12-16
Jésus donna des instructions précises à ses disciples (Pierre et Jean), afin de réserver la pièce, une grande chambre haute, où ils partageraient ensemble le repas de Pâques. « […] Jésus envoya Pierre et Jean, en disant : Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions. » (Luc 22:8). La tradition dit que Marc était le propriétaire de cette chambre haute. - Le soir étant venu, il arriva avec les douze.
- Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, Jésus dit : Je vous le dis en vérité, l’un de vous, qui mange avec moi, me livrera.
- Ils commencèrent à s’attrister, et à lui dire, l’un après l’autre : Est-ce moi ?
- Il leur répondit : C’est l’un des douze, qui met avec moi la main dans le plat.
- Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré ! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né.
Marc 14:17-21
Quand Jésus eut prononcé ces paroles, tous les disciples avaient trempé leur pain dans le plat, alors il était impossible de savoir qui était le traître à ce moment précis. Finalement, Judas fut ce traître qui aurait mieux fait de ne jamais naître. Judas périrait d’une mort terrible et subira la peine de ses péchés éternellement. | Nous retrouvons ce même récit dans l’évangile de Jean au chapitre 13:26-27, que nous commentons ici : « Jésus répondit : C’est celui à qui je donnerai le morceau trempé. Et, ayant trempé le morceau, il le donna à Judas, fils de Simon, l’Iscariot [un simple geste révéla la culpabilité d’un homme qui serait englouti par le monde des ténèbres, et ce, pour l’éternité]. Dès que le morceau fut donné, Satan entra dans Judas. Jésus lui dit : Ce que tu fais, fais-le promptement [Judas, un homme vivant sous l’ancienne alliance, n’avait pas reçu la nouvelle nature en lui. C’était un vase dépourvu de l’Esprit-Saint. Judas, avare, suivit ses mauvais penchants et finit par accueillir Satan en lui-même]. » – Un extrait de « Jésus révélé ». - Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Prenez, ceci est mon corps.
- Il prit ensuite une coupe ; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous.
- Et il leur dit : Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs.
- Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai à nouveau dans le royaume de Dieu.
Marc 14:22-25
Ce récit concerne le repas du Seigneur qui inaugura la nouvelle alliance. Découvrez les commentaires concernant la sainte cène dans Luc 22:17-30. - Après avoir chanté les cantiques, ils se rendirent à la montagne des oliviers.
Il est intéressant de noter que Jésus et ses disciples chantaient des cantiques ensemble. Voilà une coutume des croyants qui se poursuit jusqu’aujourd’hui.
- Jésus leur dit : Vous serez tous scandalisés ; car il est écrit : je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées.
- Mais, après que je serai ressuscité, je vous précéderai en Galilée.
Marc 14:27-28
Jésus cita le prophète Zacharie et il prophétisa sa résurrection : « Épée, lève-toi sur mon pasteur et sur l’homme qui est mon compagnon ! Dit l’Éternel des armées. Frappe le pasteur, et que les brebis se dispersent ! Et je tournerai ma main vers les faibles. » (Zacharie 13:7). - Pierre lui dit : Quand tous seraient scandalisés, je ne serai pas scandalisé.
- Et Jésus lui dit : Je te le dis en vérité, toi, aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois.
- Mais Pierre reprit plus fortement : Quand il me faudrait mourir avec toi, je ne te renierai pas. Et tous dirent la même chose.
Marc 14:29-31
Pierre, étant bien intentionné, affirma ici qu’il demeurerait fidèle au Seigneur. Jésus le corrigea aussitôt. Tous les disciples de Jésus affirmèrent qu’ils lui demeureraient fidèles, mais tous le renieraient. - Ils allèrent ensuite dans un lieu appelé Gethsémané, et Jésus dit à ses disciples : Asseyez-vous ici, pendant que je prierai.
Jésus se rendit avec ses disciples dans le jardin de Gethsémané, là où il prierait avant son arrestation et éventuelle crucifixion.
- Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, et il commença à éprouver de la frayeur et des angoisses.
- Il leur dit : Mon âme est triste jusqu’à la mort ; restez ici, et veillez.
Marc 14:33-34
Jésus s’entoura de ses amis les plus intimes, les invitant à la prière, car il éprouvait une immense pression spirituelle. Il savait ce qui lui arriverait d’ici peu. Découvrez les commentaires de Luc 22:39-42 concernant ce même récit. - Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta contre terre, et pria que, s’il était possible, cette heure s’éloignât de lui.
- Il disait : Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.
Marc 14:35-36
Jésus pria ici une prière de consécration. | Découvrez les commentaires de Luc 22:43-44 concernant ce même récit. | Approfondissez vos connaissances sur la prière dans l’enseignement « La prière surnaturelle ». - Et il vint vers les disciples, qu’il trouva endormis, et il dit à Pierre : Simon, tu dors ! Tu n’as pu veiller une heure !
- Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation ; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible.
- Il s’éloigna de nouveau, et fit la même prière.
- Il revint, et les trouva encore endormis ; car leurs yeux étaient appesantis. Ils ne surent que lui répondre.
- Il revint pour la troisième fois, et leur dit : Dormez maintenant, et reposez-vous ! C’est assez ! L’heure est venue ; voici, le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs.
- Levez-vous, allons ; voici, celui qui me livre s’approche.
Marc 14:37-42
Les disciples furent incapables de demeurer réveillés afin de prier avec le Seigneur. Jésus, sachant qu’il allait se faire arrêter, n’avait même pas le soutien de ses amis les plus proches avant de souffrir la pire souffrance inimaginable. | Découvrez les commentaires de Luc 22:45-46 concernant ce même récit. - Et aussitôt, comme il parlait encore, arriva Judas l’un des douze, et avec lui une foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les principaux sacrificateurs, par les scribes et par les anciens.
- Celui qui le livrait leur avait donné ce signe : Celui que je baiserai, c’est lui ; saisissez-le, et emmenez-le sûrement.
- Dès qu’il fut arrivé, il s’approcha de Jésus, disant : Rabbi ! Et il le baisa.
- Alors ces gens mirent la main sur Jésus, et le saisirent.
- Un de ceux qui étaient là, tirant l’épée, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille.
- Jésus, prenant la parole, leur dit : Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour vous emparer de moi.
Marc 14:43-48
Découvrez les commentaires concernant l’arrestation de Jésus dans l’évangile de Luc 22:47-53. Notons que l’évangile de Luc est le seul qui mentionne la guérison miraculeuse du soldat : « Mais Jésus, prenant la parole, dit : Laissez, arrêtez ! Et, ayant touché l’oreille de cet homme, il le guérit. » (Luc 22:51). - J’étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m’avez pas saisi. Mais c’est afin que les Écritures soient accomplies.
- Alors tous l’abandonnèrent, et prirent la fuite.
Marc 14:49-50
La phrase : « Mais c’est afin que les Écritures soient accomplies. » concerne, par exemple, Ésaïe 53 ainsi que Zacharie 11:13 : « L’Éternel me dit : Jette-le au potier, ce prix magnifique auquel ils m’ont estimé ! Et je pris les trente sicles d’argent, et je les jetai dans la maison de l’Éternel, pour le potier. ». - Un jeune homme le suivait, n’ayant sur le corps qu’un drap. On se saisit de lui ;
- mais il lâcha son vêtement, et se sauva tout nu.
Marc 14:51-52
De nombreux commentateurs de la Bible indiquent que ce jeune homme était peut-être Marc, puisque seul son évangile mentionne l’événement en question. Ceci dit, il ne faut pas être dogmatique concernant ce détail, car les preuves n’y sont tout simplement pas. L’idée générale est qu’un jeune homme, qui vivait tout près du jardin, aurait été réveillé par les soldats bruyants, se serait levé pour voir ce qui se passait et aurait perdu sa robe alors qu’il fuyait la scène. - Ils emmenèrent Jésus chez le souverain sacrificateur, où s’assemblèrent tous les principaux sacrificateurs, les anciens et les scribes.
- Pierre le suivit de loin jusque dans l’intérieur de la cour du souverain sacrificateur ; il s’assit avec les serviteurs, et il se chauffait près du feu.
- Les principaux sacrificateurs et tout le sanhédrin cherchaient un témoignage contre Jésus, pour le faire mourir, et ils n’en trouvaient point ;
- car plusieurs rendaient de faux témoignages contre lui, mais les témoignages ne s’accordaient pas.
- Quelques-uns se levèrent, et portèrent un faux témoignage contre lui, disant :
- Nous l’avons entendu dire : Je détruirai ce temple fait de main d’homme, et en trois jours j’en bâtirai un autre qui ne sera pas fait de main d’homme.
- Même sur ce point-là leur témoignage ne s’accordait pas.
- Alors le souverain sacrificateur, se levant au milieu de l’assemblée, interrogea Jésus, et dit : Ne réponds-tu rien ? Qu’est-ce que ces gens déposent contre toi ?
- Jésus garda le silence, et ne répondit rien. Le souverain sacrificateur l’interrogea de nouveau, et lui dit : Es-tu le Christ, le Fils du Dieu béni ?
- Jésus répondit : Je le suis. Et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance de Dieu, et venant sur les nuées du ciel.
- Alors le souverain sacrificateur déchira ses vêtements, et dit : Qu’avons-nous encore besoin de témoins ?
- Vous avez entendu le blasphème. Que vous en semble ? Tous le condamnèrent comme méritant la mort.
- Et quelques-uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper à coups de poing, en lui disant : Devine ! Et les serviteurs le reçurent en lui donnant des soufflets.
- Pendant que Pierre était en bas dans la cour, il vint une des servantes du souverain sacrificateur.
- Voyant Pierre qui se chauffait, elle le regarda, et lui dit : Toi aussi, tu étais avec Jésus de Nazareth.
- Il le nia, disant : Je ne sais pas, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Puis il sortit pour aller dans le vestibule. Et le coq chanta.
- La servante, l’ayant vu, se mit de nouveau à dire à ceux qui étaient présents : Celui-ci est de ces gens-là. Et il le nia de nouveau.
- Peu après, ceux qui étaient présents dirent encore à Pierre : Certainement tu es de ces gens-là, car tu es Galiléen.
- Alors il commença à faire des imprécations et à jurer : Je ne connais pas cet homme dont vous parlez.
- Aussitôt, pour la seconde fois, le coq chanta. Et Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite : Avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Et en y réfléchissant, il pleurait.
Marc 14:53-72
Jésus fut arrêté par les autorités religieuses et Pierre qui « suivait de loin », finit par renier le Seigneur comme Jésus l’avait prédit. Découvrez les commentaires concernant ce passage dans Luc 22:55-71.